12 AÑOS DE ESCLAVITUD - dirigida por Steve McQueen - Vista 27/01/2014

La película de Steve McQueen basada en hechos reales, narra la lucha de un hombre libre de raza negra Solomon Northup (Chiwetel Ejiofor) por conseguir la libertad después de ser secuestrado, ser enviado a Louisiana en el sur profundo y ser vendido como esclavo. Durante todos esos años de sufrimiento, Solomon luchó no solo por conservar su vida sino su dignidad pensando en su familia: su mujer y sus dos hijos. Conoció la crueldad personificada en los personajes de Edwin Epps (Michael Fassbender), estupendo como siempre que es el patrón de la segunda plantación, maléfico, alcohólico que cree que su derecho de abusar de sus esclavos está autorizado por la Biblia, y también el ayudante del capataz racista John Tibeats (Paul Dano) que está celoso de la buena relación de Solomon tiene con su primer patrón William Ford (Benedict Cumberbatch) y comienza a molestarlo y hostigarlo.

Al final después de muchas visitudes y años de trabajo forzado conoció a un trabajador canadiense Samuel Bass que llega a la plantación para construir un pabellón. El personaje del abolicionista interpretado por Brad Pitt, después de contarle su vida y sus origenes, accede a pesar de arriesgar su vida a enviar una carta a Saratoga Spring en el estado de Nueva York donde vivía Solomon antes de ser secuestrado. Bass le salvó la vida y le dio la libertad tan esperada.

A mi parecer, como las dos anteriores películas de McQueen: Hunger y Shame, es una excelente pelicula pero muy violenta. Es cierto que el tema de por si es violento. Nos da una imagen brutal de la esclavitud americana, pero también sincera que nos ayuda a coincienzarnos con ese tema tabú que es la esclavitud que lamentablemente y aunque parezca increíble sigue existiendo en algunas partes de nuestro planeta. Película muy recomendable salvo para personas sensibles a causa de sus violentas imágenes. Al cineasta británico le encanta poner el dedo en la llaga  en temas sensibles, y eso aunque moleste a algunos siempre está bien.

 TRADUCCION AL FRANCES:

Le film de Steve McQueen est basé sur des faits réels, il retrace la bataille d'un homme libre afro-américain Solomon Northup (Chiwetel Ejiofor) pour récupérer la liberté. Il est enlevé et vendu comme esclave dans une plantation du sud profond de la Louisiane. Pendant toutes ces années de souffrance, Solomon ne lutta pas uniquement pour conserver sa vie mais aussi sa dignité en pensant à sa famille: sa femme et ses deux enfants. Il a connu la cruauté personnifiée par Edwin Epps (Michael Fassbender, excellent comme toujours),  le propriétaire de la deuxième plantation, cruel, impulsif et alcoolique, convaincu que son droit de maltraiter ses esclaves est autorisé par la Bible, mais aussi par la main droite du contremaitre John Tibeats (Paul Dano), raciste qui est jaloux du succès et de la bonne relation de Solomon avec son premier maître relativement bienveillant William Ford (Benedict Cumberbatch) qui commence à lui mettre des bâtons dans les roues, le menaçant verbalement puis physiquement.

À la fin après des vicissitudes et des années de travail forcé il rencontra un travailleur canadien nommé Samuel Bass qui arriva à la plantation pour construire un pavillon suŕ la propriété de Epps. Le personnage de l'abolitionniste est joué par Brad Pitt. Il lui raconte son histoire et le convainc de porter una lettre au péril de sa vie à Saratoga Springs dans l'Etat de New York où habitait Solomon avant d' être kiknappé. Bass lui sauva la vie et lui donna la liberté tellement attendue.

Comme les deux autres films de McQueen, " Hunger" et "Shame", c'est un excellent film mais très violent. C'est vrai que le sujet par lui-même est violent. Il nous donne une image brutale de l'esclavage américain, mais très sincère qui nous aide à nous faire prendre conscience avec ce sujet tabou qu' est l'esclavage que malheureusement, et même si cela semble incroyable, continue à exister dans quelques endroits de notre planète. Film très reccomendable sauf pour les personnes sensibles à cause de ses images violentes. Le réalisateur britannique aime mettre le doigt sur la plaie des sujets sensibles, et même si cela dérange quelques uns c'est toujours bien.